Rechercher un article
Recevoir notre newsletter
L'email entré semble incorrect
Un e-mail de confirmation vient de vous être envoyé
[Retour à tema.archi]
ConcoursL'ENSA Normandie lance un workshop sur concours autour du patrimoine de la ville de Lisieux. L'événement invite à repenser l'aménagement de l'espace urbain de la ville à l'aune des défis urbains du XXIe siècle.
Le centre-ville reconstruit, Robert Camelot architecte - Image : École nationale supérieure d’architecture de Normandie
Le centre-ville reconstruit, Robert Camelot architecte - Image : École nationale supérieure d’architecture de Normandie
Lancer le diaporama en plein écran

Dans le cadre du projet de recherche « Ressource culturelle et projet urbain. Les villes moyennes de la seconde reconstruction », l’École nationale supérieure d’architecture de Normandie (ENSA) lance le workshop sur concours « Connexion urbaine. Lisieux : du centre reconstruit à la ville haute ».

Après la seconde guerre mondiale, le centre-ville de Lisieux est presque entièrement repensé par l’architecte Robert Camelot. Désormais, il peine à être reconnu et entretenu à l’aune des défis urbains de notre époque.

Redonner un souffle au patrimoine

Dès lors, le workshop sur concours intervient dans le cadre du projet « Lisieux 2025 » qui entend faire évoluer l'image du territoire et « redonner un souffle à son attractivité ».

Il est ouvert à de jeunes diplômés et étudiants inscrits en master et vise à engager une réflexion dynamique sur l’aménagement de l’espace urbain de Lisieux, et plus précisément sur la connexion entre son centre-ville et le grand ensemble d’Hauteville.

Le grand ensemble de Hauteville, Georges Duval architecte - Image : École nationale supérieure d’architecture de Normandie

L’objectif ? Relier et donner sens au territoire qui sépare les deux entités urbaines tout en affirmant leur identité respective. Toutes les dimensions de circulation, de fonctionnalité, d’attractivité, de symbolique et de patrimoine doivent être envisagées. 

Les critères d’évaluation des projets

Dans les faits, une grande liberté sera laissée aux candidats. Innovation, créativité et originalité sont les critères de choix, pondérés par les motivations de la ville, de l’Agence nationale pour la rénovation urbaine (ANRU) et des chercheurs de l’ENSA.

La faisabilité des projets ne sera pas le critère premier, l’objectif étant avant tout l’invention de méthodes nouvelles et de solutions innovantes. Toutefois, l’inscription des projets dans la réalité économique, financière et sociale de la ville sera appréciée.

Pour participer, l’inscription est obligatoire par voie électronique du 15 mars au 19 mai 2019.

La rédaction tient à préciser que tout ou partie de cet article est extrait d'un communiqué de presse

Marie Crabié